Lors de son exposition intitulée « Rings of Fire » l’artiste Stani se réinvente en utilisant un support inhabituel : des peaux de batterie. Ces plateaux circulaires en matière synthétiques sont initialement utilisés pour des instruments de musique. Ces nouvelles œuvres font écho en particulier à la culture électronique berlinoise, car l’artiste est un grand passionné de musique.
Stani est un artiste qui a su développer une approche esthétique qui lui est propre. Malgré un univers très personnel, il puise ses références chez des grands maîtres comme Basquiat. L’emploi de couleurs vives et contrastées associées à une ligne graphique et dynamique apportent de la profondeur à ses toiles. La combinaison de l’acrylique et du pastel crée une pigmentation riche et généreuse mettant en lumière les personnages de ses œuvres.
A mi-chemin entre l’art brut et l’art urbain, Stani donne du rythme à ses peintures en y ajoutant des mots à la craie, semblables à des griffonnages juvéniles créant ainsi un langage universel imprégné de la rue. Cet artiste entretient une fascination pour les lettres, les mots. Ces écritures ne sont pas dénuées de sens, elles sont chargées de significations cachées. Nous pouvons citer en exemple le mot « wild » qui est présent à plusieurs reprises dans ses peintures ou encore le mot « emotion » utilisé à fin satirique dans sa peinture « King robot ».
D’un geste instinctif et énergique il dépeint son quotidien, conférant à ses toiles un caractère autobiographique. C’est dans la rue, au gré de ses rencontres, de ses voyages et de son ressenti que Stani alimente son art et trouve une abondance de supports. Ses œuvres font donc écho à son passé. Il improvise à partir de sujets récurrents comme par exemple son chien Doggy ou bien son inspiration féminine et muse Tina.
Il choisit de développer une écriture libre, primitive et anarchique pour évoquer la culture populaire, l’art urbain et l’énergie de la rue. Les formes géométriques créent un univers robotique. Le primitivisme pictural dialogue avec un univers post-moderne.
Ses œuvres sont non seulement esthétiques mais thématiques. Il aborde des faits sociétaux avec un ton léger afin de faire passer et exprimer des messages libertaires. L’artiste utilise son art comme médium de communication pour exprimer sa philosophie de vie et ses rébellions contre la société moderne. En effet, nous pouvons penser à la phrase « life is a fake » tirée du tableau « Music Paradise ».
Pour la série « Rings of Fire », l’artiste se renouvelle en peignant sur un support atypique, celui de plateaux circulaires en peaux synthétiques qui sont initialement utilisés pour des instruments musicaux comme la batterie. Ces nouvelles œuvres font écho en particulier à la culture électronique berlinoise.
L’année précédente fut un tel succès que nous avons décidé de renouveler notre participation à la foire d’art contemporain suisse Kunst Zurich qui se déroulera du 26 au 30.10. où nous présenterons sur notre stand de 70m2 les oeuvres de nos artistes peintres, sculpteurs et photographes : Manfred Hamm, Stephanie de Rouge, Rayk Goetze, Jesper Blader, Mickael Doucet, Quentin Carnaille, Jazzu, Stani, Arman, Christo et Jeanne-Claude.
Exposition » Esprit libre 2 » : Stani revient…
Probablement né en 1987, Stani est un artiste de la rue d’origine polonaise, sombre et rempli d’une énergie de création propre à sa condition. Jeune créateur insatiable, baigné dans les sous cultures télévisuelles, les jeux vidéos, la musique rock et l’électro la plus underground des « parties » de Berlin (où il réside la plupart du temps). Stani est un apôtre du street art, au croisement entre l’art brut le plus libre et inventif et celui de l’urgence d’un Basquiat en manque d’héroïne.
Il tient cependant à garder l’anonymat, son identité n’ayant jamais été dévoilée au grand public. Malgré ses influences, Stani a tout de même su développer une approche esthétique qui lui est propre. A mi-chemin entre l’art graphique et le street art, Stani s’exprime à travers l’acrylique et la craie sur des toiles de divers formats. Entre figures et plumes, dessins et écritures, Stani dépeint son quotidien, nous raconte ses aventures, nous fait partager ses goûts à travers un univers dynamique et coloré caractéristique de son art.
Exclusivement représenté par la galerie Charron qu’il a rejoint en 2012, Stani a notamment été exposé à Art Up Lille en 2014 ; à Kunst 15 Zurich, Art3G Bordeaux et Kunstmesse Frankfurt en 2015, où son œuvre intitulée Yegg a été présentée lors d’un reportage de la chaine allemande ARD.
Nous avons le plaisir de vous annoncer notre participation à la foire d’art contemporain allemande de Francfort où nous présenterons les travaux de Pascale Lander, Stéphanie de Rouge, Mickaël Doucet, Marcel Polin, Stani et Malo.
Au plaisir de vous retrouver à la Kunstmesse Frankfurt du 31.01 au 03.02.2015 !
Exposition » Esprit libre »
Probablement né en 1987, Stani est un artiste de la rue d’origine polonaise, sombre et rempli d’une énergie de création propre à sa condition. Jeune créateur insatiable, baigné dans les sous cultures télévisuelles, les jeux vidéos, la musique rock et l’électro la plus underground des « parties » de Berlin (où il réside la plupart du temps). Stani est un apôtre du street art, au croisement entre l’art brut le plus libre et inventif et celui de l’urgence d’un Basquiat en manque d’héroïne.
Il tient cependant à garder l’anonymat, son identité n’ayant jamais été dévoilée au grand public. Malgré ses influences, Stani a tout de même su développer une approche esthétique qui lui est propre. A mi-chemin entre l’art graphique et le street art, Stani s’exprime à travers l’acrylique et la craie sur des toiles de divers formats. Entre figures et plumes, dessins et écritures, Stani dépeint son quotidien, nous raconte ses aventures, nous fait partager ses goûts à travers un univers dynamique et coloré caractéristique de son art.
Exclusivement représenté par la galerie Charron qu’il a rejoint en 2012, Stani a notamment été exposé à Art Up Lille en 2014 ; à Kunst 15 Zurich, Art3G Bordeaux et Kunstmesse Frankfurt en 2015, où son œuvre intitulée Yegg a été présentée lors d’un reportage de la chaine allemande ARD.