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Galerie Charron | Art Contemporain

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Manfred Hamm

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Galerie Charron
vendredi, 02 décembre 2016 / Publié dans Expositions

Manfred Hamm // La légende de la photographie allemande

PART II : THE BERLIN WALL // DIE BERLINER MAUER

La galerie Charron présente les photographies de Manfred Hamm tirées de sa série Le mur de Berlin.

« Pionnier et maître de la photographie d’architecture » selon le journal allemand Der Spiegel, Manfred Hamm, né en 1944, est devenu célèbre avec ses prises de vues de bâtiments industriels aux allures de clichés d’une archéologie contemporaine dans laquelle l’humanité aurait disparu – « les sites antiques de demain ». Manfred Hamm n’aime pas le digital. Pour lui la magie ne s’opère pas avec des photos digitales. Son secret, la patience et son amie de toujours, sa caméra Plaubel. Un travail photographique en quête d’un esthétisme, d’une extrême netteté, parfaitement éclairé et cadré avec soin avec une précision époustouflante.

Manfred Hamm est l’un des photographes qui connaît le mieux Berlin. En décembre 1976, il part avec le projet de photographier la tombe de Théodor Fontane et se retrouve devant un obstacle insurmontable qu’est le mur de Berlin. Il décide alors de prendre cet obstacle comme objectif. A partir de 1976 Manfred Hamm va documenter le mur de Berlin qui se transforme peu à peu pour lui comme une sorte de décor de théâtre avec ses graffitis et ses motifs surprenants comme par exemple le cheval qui n’a aucune idée du caractère menaçant de cet édifice mortel. Son travail photographique est un documentaire tel l’aurait fait un « ethnologue ». « Je voulais toujours être un ethnologue se confie Manfred Hamm mais l’un de mes professeurs m’en a dissuadé car j’étais trop romantique ». Manfred Hamm a su capter des instants d’histoire… durant cette période en ajoutant sa déclaration d’amour à la capitale berlinoise et sa contribution à ce bouleversement historique. Manfred Hamm a mis fin à son travail photographique quand Kodak a abandonné la production de ces pellicules si chères à Manfred Hamm, qui lui permettaient de créer une profondeur photographique jamais atteinte avec une autre pellicule.

Manfred Hamm

Manfred Hamm

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Galerie Charron
jeudi, 03 novembre 2016 / Publié dans Expositions

Manfred Hamm // La légende de la photographie allemande

PART I : INTERIORS // INNENANSICHTEN

 

La galerie Charron présente les photographies de Manfred Hamm tirées de ses séries Bibiothèques, Salles de Concert et Bourses.

« Pionnier et maître de la photographie d’architecture » selon le journal allemand Der Spiegel, Manfred Hamm est devenu célèbre avec ses prises de vues de bâtiments industriels aux allures de clichés d’une archéologie contemporaine dans laquelle l’humanité aurait disparu – « les sites antiques de demain ». Manfred Hamm n’aime pas le digital car pour lui la magie ne s’opère pas ainsi. Son secret, sa caméra « Plaubel » et son amie de toujours, la patience. Un travail photographique en quête d’un esthétisme, d’une extrême netteté, parfaitement éclairé et cadré avec soin avec une précision époustouflante. Son travail photographique est un documentaire tel l’aurait fait un « ethnologue ». « Je voulais toujours être un ethnologue » se confie Manfred Hamm « mais l’un de mes professeurs m’en a dissuadé car j’étais trop romantique ». Ainsi, il immortalise des lieux publics marquants de la société. Le photographe traduit l’amplitude de ces espaces, par nature immenses, en employant conjointement dans ses clichés la force de la couleur et la rigueur de la perspective axiale. Les lieux des clichés présentés à la galerie Charron sont vidés de toute existence humaine et photographiés de l’intérieur du bâtiment. Cela amène à reconsidérer ces « morceaux d’architectures » en dehors de toute activité humaine, voire de leur fonction habituelle. Ce focus sur les entrailles des constructions permet ainsi de voir une vision renouvelée de l’architecture, mettant en valeur la structure interne des lieux, avec une perception esthétisante et autosuffisante de l’architecture. Manfred Hamm a mis fin à son travail photographique quand Kodak a abandonné la production de ces pellicules qui lui étaient si chères et lui permettaient de créer une profondeur photographique jamais atteinte avec une autre pellicule.

Manfred Hamm

Petit Jean

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Galerie Charron
jeudi, 15 septembre 2016 / Publié dans Expositions

L’exposition « Drôle d’oiseaux » à travers les réflexions du photographe Petit jean.

Artiste français né en 1972, le photographe Petit Jean propose un univers insolite où le pigeon semble avoir remplacé l’Homme, invitant le spectateur à une immersion saisissante. Les clichés sont réalisés à partir de maquettes uniques faites entièrement à la main, qu’il photographie ensuite sans aucuns trucages, avec des temps de pose longs pour un effet plus réaliste.

En véritable scénographe, l’artiste pousse cet anthropomorphisme à son paroxysme en projetant les volatiles dans une organisation modèle, reflet de nos propres vies. Les pigeons de Petit Jean sont immortalisés lors de toute sorte d’activités : au musée, à l’hôpital, à l’hôtel, au restaurant ou encore au supermarché. En confondant notre réalité et celle des oiseaux, Petit Jean participe à la prise de conscience du changement de statut de l’animal dans nos sociétés. Il s’attache à faire évoluer notre regard face au vivant et au long chemin qu’il reste à accomplir pour reconnaitre que l’homme et l’animal ne peuvent vivre et survivre l’un sans l’autre.

Petit Jean

Maria De Campos, Jazzu, Thomas Mainardi, Stani, Pooshy Le Baron

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Galerie Charron
lundi, 04 juillet 2016 / Publié dans Expositions

La galerie Charron vous fait découvrir les oeuvres des artistes Maria De Campos, Jazzu, Thomas Mainardi, Stani et Pooshy Le Baron, réunis à l’occasion de l’exposition Outsiders dédiée à la mouvance expressionniste urbaine présentant des œuvres allant de l’art brut au pop art.

 

JazzuStani

Cécile Decorniquet

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Galerie Charron
samedi, 02 juillet 2016 / Publié dans Expositions

​Les portraits que Cécile Decorniquet propose dans ses séries se jouent des limites de la représentation et nous font partager un monde onirique empreint de fantaisie et de poésie. À l’encontre du regard mélancolique, l’artiste habille, grime ces petites filles, les fait poser à la manière des grandes dames victoriennes. L’espièglerie qui s’en dégage lance un défi au spectateur. Son univers qui mélange à la fois les grands portraits de la peinture primitive flamande, de la peinture baroque espagnole et de toute évidence les photographies d’Alice Liddell de Lewis Carroll, est trompeur. Une forme d’irréalité entoure ces visages qui, du coin de l’œil, nous jettent un regard narquois. Là où la photographie imprime une forme de réalité, Cécile détourne sa fonction initiale, nous donne à voir une figure fantasmée de l’enfance et nous révèle un monde surréaliste, comme si nous étions passés de l’autre côté du miroir. Laetitia Guillemin

The portraits that Cécile Decorniquet presents in her series play with the limits of representation and share a dreamy world full of fantasy and poetry. Unlike the melancholic gaze of her Models, the artist dresses these little girls up, in the manner of tall Victorian ladies. The playfulness that radiates from the photos, challenges the viewer. Decorniquet’s universe, which mixes both the great portraits of Flemish and the Spanish Baroque paintings as well as the photographs of Alice Liddell by Lewis Carroll, is misleading. A form of unreality surrounds those faces who cast a cunning glance at us from the corner of their eyes. While photography captures a form of reality, Cécile abstracts this original function, allowing us to see a fantasized figure of childhood, revealing a surreal world as if we had passed on to the other side of a mirror. Laetitia Guillemin

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Cécile Decorniquet

Mickaël Doucet et Cerise Doucede

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Galerie Charron
jeudi, 02 juin 2016 / Publié dans Expositions

L’exposition intitulée « Mimesis » présente deux artistes, un peintre – Mickaël Doucet et une photographe – Cerise Doucède qui s’interrogent tous deux sur l’imaginaire et le réel, le visible et l’invisible en projetant à travers deux médiums différents, la photographie et la peinture, l’invisible comme présence ou absence.

  • Dans cette série intitulée « Égarements » Cerise Doucède a voulu illustrer visuellement un panorama varié de petites hallucinations quotidiennes dont nous pouvons tous être les protagonistes, c’est à dire les moments où l’on décroche, où l‘on commence à penser à autre chose, à rêver. Les personnages sont vides en apparence, éteints mais leur esprit est pourtant en pleine ébullition, ils projettent alors sur les décors et les objets leurs fantasmes, obsessions ou leurs peurs. L’imaginaire prend alors le pas sur la réalité, l’invisible devient visible. Autour d’eux les objets prennent vie, comme par magie ils s’envolent, s’entassent, se regroupent. Ces projections de pensées permettent alors aux personnages de se déconnecter un instant de la monotonie de leur quotidien et de prendre la vie avec plus de légèreté. Chaque photo est en rapport direct avec la personne et son univers.

 

  • La série intitulée « Villégiatures » de Mickaël Doucet présente des intérieurs de villas contemporaines vidées temporairement de ses habitants. Des objets laissés pour compte ici et là, quelque peu énigmatiques, acheminent le spectateur vers une histoire extraite de sa propre imagination. Les juxtapositions d’images actuelles et de représentations fictives incitent le spectateur à se retrancher dans l’entre deux. Le spectateur est ainsi plongé à mi-chemin entre le passé et le futur tant au niveau narration qu’au niveau pictural. L’harmonie picturale de chaque toile révèle à la fois des phases contemporaines avec ses objets design et des phases anciennes au travers de ses paysages influencés par les peintres flamands. Cette perception étrange accentuée par le travail de la perspective, du plein et du vide magnifié par ses piscines à contre pied de David Hockney renforce le sentiment d’aliénation qu’on éprouve face à ses œuvres.
Cerise DoucedeMickael Doucet

Stephanie de Rouge

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Galerie Charron
dimanche, 01 mai 2016 / Publié dans Expositions

Exposition intitulée « Paris – New York »

Stephanie de Rouge est créateur d’image français, expert en storytelling visuel et chef de projet artistique basé à New York et travaille en tant que professeur de photographie au Centre international de photographie, crée et gère des projets artistiques, conçoit des livres de photographie, propose des ateliers de création d’images hors des sentiers battus et contribue à de grands magazines en Europe et aux États-Unis en tant que photographe de portrait et de voyage.

Son travail a été exposé au Palais de Tokyo (Paris), Bibliothèque Nationale de France (Paris), Le Bon Marché (Paris), Galerie Duboys (Paris), Galerie Photo (Paris) et Soho Photo Gallery (New York) et récompensé par Flash Forward 2009 (Canada) et La bourse du Talent 2009 (France).

Il a également été présenté dans le New York Times Newspaper, The Guardian, Le Monde Magazine, Images Magazine, ELLE, Le Journal de La Photographie, View Magazine, Io Donna, Zoom magazine, Esquire, Radio Canada, fubiz.net, photographie. com et de nombreux blogs dans le monde entier.

Certaines de ses images sont syndiquées par Redux Agency à New York et Interlinks Images à Paris. La galerie Charron à Paris représente certains de ses projets artistiques.

Ses clients incluent: The New York Times Newspaper, Nestlé France, Libération, Havas, Sephora, Le Point, The William Vale, Edible Manhattan, Quinn NY, OBA, The Good Life, Storey Publishing, Popular Mechanics entre autres.

Stephanie de Rouge

Stani

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Galerie Charron
lundi, 01 février 2016 / Publié dans Expositions

Exposition  » Esprit libre 2  » : Stani revient…

Probablement né en 1987, Stani est un artiste de la rue d’origine polonaise, sombre et rempli d’une énergie de création propre à sa condition. Jeune créateur insatiable, baigné dans les sous cultures télévisuelles, les jeux vidéos, la musique rock et l’électro la plus underground des « parties » de Berlin (où il réside la plupart du temps). Stani est un apôtre du street art, au croisement entre l’art brut le plus libre et inventif et celui de l’urgence d’un Basquiat en manque d’héroïne.

Il tient cependant à garder l’anonymat, son identité n’ayant jamais été dévoilée au grand public. Malgré ses influences, Stani a tout de même su développer une approche esthétique qui lui est propre. A mi-chemin entre l’art graphique et le street art, Stani s’exprime à travers l’acrylique et la craie sur des toiles de divers formats. Entre figures et plumes, dessins et écritures, Stani dépeint son quotidien, nous raconte ses aventures, nous fait partager ses goûts à travers un univers dynamique et coloré caractéristique de son art.

Exclusivement représenté par la galerie Charron qu’il a rejoint en 2012, Stani a notamment été exposé à Art Up Lille en 2014 ; à Kunst 15 Zurich, Art3G Bordeaux et Kunstmesse Frankfurt en 2015, où son œuvre intitulée Yegg a été présentée lors d’un reportage de la chaine allemande ARD.

Stani

Mickaël Doucet

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Galerie Charron
mardi, 12 janvier 2016 / Publié dans Expositions

Dans la série « Philomates » de Mickaël Doucet, le spectateur lutte avec les codes visuels autour de la perversion d’une situation. Plutôt que de peindre la souffrance et sa représentation, Mickaël Doucet équilibre son œuvre, de manière itérative, autour de trois éléments, à savoir un chimpanzé, un ou plusieurs objets manufacturés et un modèle moléculaire d’ADN humain avec une apparente douceur qui renforce le propos autour de la notion de liberté, d’affranchissement ou de progrès. La dernière toile de la série « Philomates » laisse le spectateur pantois : ce chimpanzé détient des clefs, celles du progrès ou de la liberté ?

Mickael Doucet

Jean Philippe Pernot

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Galerie Charron
dimanche, 01 novembre 2015 / Publié dans Expositions

 » Violence  » : Acte brutal, action d’une force non retenue, par la force…Ainsi se définit la violence dans les dictionnaires. Ordinaires, ou non, les violences sont le fait de l’expression d’une force, de ce qui ramène au corps qui s’agit par delà la retenue. Et la femme en est souvent la première victime, l’enfant aussi, et enfin l’homme. Et n’ayant que les images, ou presque, pour le dire, j’ai voulu faire appel à la retenue visuelle pour stimuler l’esprit, ce qui retient ou peu retenir ce qui est violence par delà le corps. Et de lien en pensées, tirer le fil de l’esprit que l’on nourrit non plus de violences, celles de l’ordinaire, d’aujourd’hui, mais par la culture, les arts, l’étrangeté, la surprise.

En violences, il y a viol, cet acte de négation de la personne humaine, de son libre arbitre, chaque jour il s’en commet plus de 900 dans le monde.Chaque vêtement/peau laissé, lapidé, arraché, déchiré offre à chacun de s’en habiller pour ressentir la violence, la faire sienne.Bien qu’elle soit immuable, principe absolument humain, la partager par ses photos oblige le spectateur à s’immiscer, s’approprier ce corps par un glissement progressif, loin de la monstration crue.

Les Nombres, Les Juges, le Deutéronome qui ponctuent le récit biblique offrent des scène de violences rares justifiant tous les crimes au nom du sacré. Un sacré qui se nourrit de ses violences, qui aurait besoin de la violence pour s’exercer, transcender chacun dans une unité retrouvée. Ce fut le cas au temps anciens : Nombre 15.35  L’Éternel dit à Moïse: Cet homme sera puni de mort, toute l’assemblée le lapidera hors du camp. Nombre 15.36  Toute l’assemblée le fit sortir du camp et le lapida, et il mourut, comme l’Éternel l’avait ordonné à Moïse.

C’est le cas aujourd’hui ou les guerres sacrées produisent un état de violences dont la profondeur ne cesse de croître. Les images de cette série, habits, vêtements, seuls, immaculés puis progressivement maculés sont le corps de chacune, chacun, effacé derrière ce tissu souillé. Un corps dont on peut imaginer le processus de disparition par les traces accumulées par la violence.

Jean Philippe Pernot
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